La côte Est de Nouvelle-Calédonie est beaucoup plus sauvage que la côte Ouest. Le climat y est plus humide, la mer plus déchainée et cette partie de l’île est restée la propriété de populations kanak qui la garde très peu cultivée.
La route est parsemée de cocotiers de partout. Qui dit cocotiers dit noix de coco. Nous aurons l’occasion de gouter différents stades de maturité et deviendrons experts. Mais attention, une route parsemée de cocotier est dangereuse pour le capot de la voiture (et la caution de la location!).
Je vous rassure, on ramassait les noix pare terre on ne grimpait pas dedans, même si certaines ont essayé ;-)
Le plus dur dans l’ouverture, c’est de retirer les trois centimètres de bourre qu’il y a autour de la noix. Il faut un pic acéré ou un couteau qui coupe et surtout un peu de patience. Mais cela fini par payer avec de la chaire juteuse et sucrée à se mettre sous la dent, et la coco ça vous calle un homme (et deux femmes aussi).
La route est vraiment superbe avec des petites maisons en plus ou moins bon état et, tout le long de la route, des petit kiosques avec des fruits de saisons, on ne peut plus locaux. Nous avons eu la chance de nous arrêter dans un camping superbe avec une paillotte par emplacement, très agréable quand le vent souffle fort. Nous nous sommes demandés pourquoi toutes ces paillottes, c’est du travail pour un pays où il pleut pas tant. C’est pour les cocos… parce qu’une coco qui vous tombe sur la tête de 20 m de haut ça fait bien mal même si vous ne sentez plus la douleur après…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire